05-12-2011
Près de 200 persons, dont une majorité de Français, sont venus soutenir vendredi dernier au center de recherches de Sanofi-Aventis à Milan, leurs camarades italiens menacés de licenciement malgré the 9 milliards d'euros de bénéfices de la multinationale pharmaceutique.
The announcement of the closure of the Sanofi-Aventis research center in Milan threatens the sites of Montpellier and Sisteron.
An immense enthusiastic clamor has come from the scarf assembled on the floor of the flamboyant new building of the prestige research and development center of Sanofi-Aventis in Milan (Italy) to acquire the minibuses which transport the CGT delegations from the Montpellier and Sisteron sites of the French multinational pharmaceutique.
The bannières rouges de la centrale syndicale française ondoient à travers les fenêtres du minibus, adding a touch of gaieté and de couleur a cette froide et grise matinée milanaise, tandis que les sons stridents des cornes de brume et des sifflets le disputent aux cris de joie des militant syndicaux. C'est dire si le voyage entre Montpellier et Sisteron, puis Milan, a été long et donc propice à exacerber la combativité des demonstrants…
Une initiative française
C'est à l'appel de la CGT que près de 150 personnes issues des sites industriels français du géant pharmaceutique se sont rendues à Milan vendredi 2 décembre dernier afin de soutenir leurs collègues italiens en grève pour protester against the decision to stop the center de recherche pharmaceutique de la ville italienne. Celui-ci, inaugurated in large pumps with the local authorities of the city and of the Lombardy region in 2008, is a research pole which contributes to the elaboration of medicines such as Plavix and the researchers who publish articles in scientific reviews of international recognition. Les syndicats, also bien Italiens que la CGT française, dénoncent une volonté de rabaisser les coûts de production, ce malgré les 9 milliards d'euros de bénéfices enregistrés en 2010 par l'un des fleurons de notre industrie nationale.
Un seul mot d'ordre : solidarité
